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La chélation, une thérapie indispensable !

Qu’entend-on par maladies environnementales ?

Ce sont les maladies dont l’origine se trouve dans une ou plusieurs pollutions de notre environnement.

Parmi ces maladies, qui sont en constante augmentation, on retrouve des cas de fibromyalgies, de fatigue chronique, de dépressions, d’infections chroniques, de mycoses récidivantes, d’électro-sensibilité, de maladies auto-immunes, de scléroses en plaques, d’autisme, de maladies d’Alzheimer et de cancers.

Elles ont toutes une particularité commune, c’est un affaiblissement du système immunitaire et donc la porte ouverte aux virus, aux bactéries, aux mycoses, aux maladies auto-immunes et aux cancers.

Cet affaiblissement est une des conséquences de la pollution de l’air, de l’eau et de la nourriture qui n’ont, une fois encore, jamais contenu autant de métaux lourds et de résidus de pesticides dans toute l’histoire de l’humanité.

Les métaux lourds sont toxiques et sont mentionnés comme tels depuis l’Antiquité.
L’utilisation du plomb remonte probablement à 2000 ans avant J.-C. et la première description de coliques abdominales chez un homme qui faisait l’extraction du plomb date de 370 avant J.-C. et a été faite par Hippocrate.

De très nombreux travaux ont démontré la toxicité des métaux lourds comme par exemple le saturnisme lié, également, au plomb ou les problèmes neurologiques consécutifs au mercure comme à Minamata.

Du point de vue toxicologique, la caractéristique des métaux est leur réactivité dans les milieux biologiques en prenant un ou plusieurs électrons pour former des cations toxiques.

Il n’est peut-être pas tout à fait inutile de faire un petit rappel de nos connaissances de base en précisant que les métaux lourds sont dans la partie intermédiaire du tableau de Mendeleev.
Ce sont des éléments instables, c’est à dire qu’il leurs manque un éléctron ou plus dans la dernière couche périphérique et qu’ils doivent prendre un ou plusieurs électrons dans les éléments à proximité pour s’équilibrer.
Prendre un électron, en chimie, cela s’appelle une oxydation.
Les métaux lourds ont, donc, tous une action oxydante.

Plus personne n’échappe aujourd’hui à la pollution environnementale.

La toxicité des métaux lourds, associée à une susceptibilité génétique individuelle, semble, en effet, responsable de la progression vertigineuse des maladies citées ci-dessus.

Voici ce qu’en disait Gilles-Eric Séralini, professeur de biologie moléculaire à l’université de Caen :

« Nous devons comprendre les effets combinés et à long terme, des polluants dans notre organisme. Lesquels sont probablement à l’origine de 80% des maladies qui mineront la santé humaine au cours du 21ème siècle.
Notamment des cancers et des maladies hormonales. (…)

NOS CORPS SONT DEVENUS DES ÉPONGES À POLLUANTS.

On trouve dans les gènes de fœtus humains, comme j’ai participé à l’établir plus de 400 polluants : Hydrocarbures, dioxines, pesticides, résidus de plastique, de colle, d’encre d’imprimerie… »

Les métaux lourds sont toxiques voir extrêmement toxiques et le pire est le mercure.

Une vidéo, très impressionnante tournée à l’université de Calgary – « How Mercury causes Brain Neuron Degeneration » – montre comment le mercure détruit le système des tubulines dans le système nerveux.

L’énorme toxicité du mercure a été mise en évidence, pour la première fois, à grande échelle, au Japon dans la baie de Minamata.
Que s’est-il passé ?

En 1932, une fabrique d’engrais chimiques, l’usine Chisso, s’installe à Minamata, baie tranquille peuplée de pêcheurs.
Les pêcheurs ignorent tout des activités de l’usine et ne savent pas que c’est un poison toxique qu’ils vont remonter dans leur filet car les eaux de la baie sont polluées par les relargages riches en mercure de l’usine Chisso.

Au fil des années, on assiste à d’étranges phénomènes.
Les chats qui se nourrissent des restes de la cuisine humaine se mettent à tituber à avoir des comportements complètement anormaux. Certains, même, se jettent à la mer.
Dans les années 50, on commence à voir apparaître d’étranges maladies dans les familles de pêcheurs telles que :
Convulsions, tremblements, mouvements involontaires, troubles oculaires et auditifs, démarche chancelante, fatigue etc.
Les mères donnent naissance à des enfants lourdement handicapés.
Les médecins s’interrogent.

Pendant des années la clé du mystère reste entière.
Le mal étrange persiste.
Des bébés naissent avec des anomalies chromosomiques et de graves malformations.
Ceux qui semblent indemnes à la naissance, ne se développent pas normalement, ont de gros retards de langage, des troubles de la coordination et des replis sur soi confinant à l’autisme.
Le phénomène s’accentuant, l’usine Chisso procède secrètement à leurs propres expériences.

En nourrissant des chats avec des coquillages ayant la particularité de fixer les métaux lourds, ils ont la confirmation que c’est bien le mercure qui est à l’origine de tous ces troubles.

Mais ils choisissent de se taire.

Ce n’est qu’en 1959 que l’on finit par identifier le responsable : 27 tonnes de mercure déversés dans la mer par l’industrie de l’usine.

Par le biais de la chaîne alimentaire le niveau de mercure, dans les poissons, était dans certains cas plusieurs milliers de fois supérieure à celui de l’eau dans laquelle ils vivaient.

Certains médecins dont le Dr Melet, dans les années 80, ont pris conscience du danger du mercure que les dentistes ont mis dans les dents pendant des décennies en pensant que ce métal n’était pas nuisible dès lors qu’il était « amalgamé » et que par conséquent il ne bougeait plus.

De nombreuses études ont démontré que ce n’était pas le cas.
Il suffit de mettre un amalgame comportant un radio-isotope dans la dent d’un animal et de rechercher, dans les jours qui suivent, le radio-isotope dans le sang et les urines.

Ceci étant dit, il est plus que fondamental de savoir que le mercure ne perdure dans le sang que 24 à 48 heures.
Après, ou il a diffusé dans les tissus, ou il a été éliminé par les émonctoires naturels, les reins et les intestins.
Cette notion est malheureusement très mal connue, même des personnes qui se disent spécialistes en toxicologie.
En effet, lors d’intoxication sévères, les patients atteints ne sont testés que par le sang et ce plusieurs jours après ladite intoxication.
Dans ces conditions, il est évident que le résultat du test restera négatif alors que le patient est rééllement intoxiqué par un métal lourd qui a diffusé dans ses tissus.
Comme, il est fort probable que le patient va manifester des symptômes de mal-être alors que ses tests seront négatifs, il n’est certainement pas exclu qu’on lui allègue que c’est en relation avec une « petite dépression ».

La seule méthode valable est l’utilisation de produits chélateurs qui, eux, vont aller chercher le métal toxique dans les tissus et pas seulement dans le sang.

Deux livres majeurs dans l’histoire du traitement de l’intoxication au mercure, ont été consacrés au Dr Melet et à ses résultats spectaculaires grâce à la chélotherapie dans les cas d’intoxication par le mercure.

Ces deux livres remarquables, ont été écrits par Madame Françoise Cambayrac.

Ils s’appellent :

  • « Vérités sur les maladies émergentes »
  • « Maladies émergentes, comment s’en sortir »

De nombreux passages de ce chapitre sont extraits de ces deux livres.

Les maladies émergentes sont les maladies environnementales citées préalablement.

Le Dr Sittided Reymond, neurologue à Sion, écrit ceci, le 15.11.2018, au Professeur Thierry Buclin, professeur de pharmacologie et de toxicologie clinique au CHUV :

« J’ai commencé un dosage systématique des pesticides chez les malades neurologiques n’ayant a priori AUCUN FACTEUR DE RISQUE habituel, pas de tabagisme, pas d’alcoolisme, pas de médicaments particulièrement toxiques, pas de sédentarité et pour la plupart une bonne hygiène de vie et peu de prédispositions génétiques aux maladies (pas d’antécédents familiaux).

Il s’agit de maladies ou de symptômes très divers allant de formes inflammatoires dégénératives de polyneuropathies, des SEP etc.

Les analyses, grâce à Monsieur Nicolas Donzé, envoyées à l’université de Liège chez lepProfesseur Carlier, confirment LA PRÉSENCE DE NEUROTOXIQUES CHEZ TOUS LES MALADES, des organophosphorés, des organochlorés, des résidus de TCPY, des PCB et autres.

La mise en évidence de résidus de pesticides et autres SUBSTANCES NEUROTOXIQUES, IMMUNOTOXIQUES, CANCÉRIGÈNES, MUTAGÈNES, REPROTOXIQUES, PERTURBATEURS ENDOCRINIENS évoque, pour moi, la possibilité que certains symptômes ou maladies, comportent bien, une ORIGINE ENVIRONNEMENTALE.

Même si, la plupart des valeurs, prises isolément, ne sont pas alarmantes, le cumul de ces substances participe à l’EFFET COCKTAIL et pourrait bien chez certaines personnes constituer un facteur de risque modifiable des maladies. »

La chélotherapie, qui consiste à attraper les métaux lourds, tel que le mercure et à les faire sortir du corps par les émonctoires, (urines et selles) trouve donc toute sa place et son sens dans les écrits du Dr Sitthided Reymond.

Les métaux toxiques povoquent :

  • Des dommages oxydatifs sur l’ADN
  • Une chute majeure du glutathion
  • Une baisse très considérable du SOD (super oxide dismutase)
    Ces deux dernières substances sont parmi les enzymes antioxydants les plus importants.
  • Un blocage des mécanismes de réparation de l’ADN

La chélotherapie, comme son nom l’indique est une thérapie, elle permet d’éliminer les substances neurotoxiques, immunotoxiques et cancérigènes mais de surcroît, elle permet la mise en évidence d’une intoxication.

Aucune autre méthode ne permet cette évaluation.

La recherche de métaux lourds, sans utiliser de produits chélateurs, dans les urines, dans le sang ou dans les cheveux ne permet pas d’éliminer une suspicions d’intoxication sauf peut-être dans les 48 heures qui suivent une intoxication sévère.

En effet, dans le grand livre du professeur Van der Schaar, directeur de l’IBCMT (International Board for Clinical Metal Toxicology), intitulé « Toxicologie Clinique des Métaux » il est bien précisé que le mercure ne perdure pas plus de 48 heures dans le sang.
Pour aller mobiliser, rechercher les métaux lourds absorbés dans les tissus et ainsi faire une évaluation correcte de l’intoxication, il n’y a que les produits chélateurs qui peuvent le réaliser en permettant l’élimination des dits métaux dans les urines.
Il n’y a pas d’autre alternative.

À la rigueur, on pourrait faire des prélèvements, des biopsies dans certains organes.
Si cela concerne le cerveau, cela risque d’être plus compliqué.

Parmi les produits chélateurs, le plus utilisé est le DMPS (dimercapto propane sulfate).

Dans une lettre du 23.10.17. le professeur Thierry Buclin du CHUV fait état du fait que le DMPS est un produit qui figure dans la liste des antidotes officiels suisses, dans l’indication d’intoxication par le mercure et d’autres métaux lourds.
Au CHUV (Centre Hospitalier Universitaire Vaudois) c’est le produit Dimaval qui est utilisé.

D’aucuns, ont argué du fait que ce produit était réservé aux intoxications aigües.
Mais, qu’une intoxication soit aigüe ou chronique, elle reste une intoxication et elle mérite d’être traitée en tant que telle.

Par ailleurs, le DMPS est utilisé par de nombreux médecins et cliniques en Suisse, en Allemagne, en Hollande, en Belgique, dans les pays du nord de l’Europe ainsi que aux USA, en Australie en Chine et dans bien d’autres pays.

Dans un très bon livre « le guide des médecines anti-âge » la doctoresse Astrid Stuckelberger, écrit ceci :

« La thérapie de chélation est largement plébiscitée au Japon, où elle rencontre un succès sans comparaison avec l’Europe. (…)

Des centres de chléation s ‘étalent sur des étages entiers qui ne désemplissent pas.

Le fait que la population du Japon a souffert des conséquences du rayonnement de la bombe atomique à Hiroshima et à Nagasaki et récemment de radiations nucléaires à Fukushima, peut expliquer ce souci de détoxification et de nettoyage des substances hautement toxiques. (…) »

De plus, les articles de revues scientifiques ne tarissent pas d’éloges sur la thérapie de chélation comme une thérapie anti-oxydante et et anti-âge par excellence :

En 2000, Sajio et Hiroshi, deux chercheurs japonais qui ont étudié de près le sujet, ont déclaré dans un article scientifique sur la thérapie de chélation :

« L’anti-oxydation sera un élément important du 20ème siècle pour faire face au vieillissement, aux crises cardiaques, aux accidents vasculaire cérébraux, aux cancers ainsi qu’aux risques iatrogènes de la pollution et de l’environnement des êtres vivants.
La thérapie de chélation sera un outil unique et nécessaire pour tracer le stress oxidant. »

Un centre médical de détoxication Suisse utilise ce produit chélateur depuis des années et fait faire les analyses des métaux dans le plus grand laboratoire d’Europe en la matière, Micro trace Laboratory dont le siège est en Allemagne.

Les mesures faites dans les urines, à blanc, sans produits chélateurs ou avec chélateurs montrent bien des différences très significatives.

Les examens des urines, pour les patients ayant des symptômes pouvant correspondre à une intoxication aux métaux lourds ont révélés des taux impressionnants de mercure de plomb et d’arsenic.

Les résultats pour 1’959 échantillons analysés par le laboratoire Micro Trace entre 2008 et 2018 ont été les suivants :

  • Arsenic : valeur moyenne 24, écart type 83, valeur maximale 1490, alors que la valeur normale est de 15.
  • Mercure : valeur moyenne 12, écart type 24, valeur maximale 538, valeur normale 1.
  • Plomb : valeur moyenne 16, écart type 18, valeur maximale 334. Valeur normale 5.
    (toutes ces valeurs sont en microgrammes/grammes de créatinine)

Il est tout à fait remarquable de constater que dans tous les échantillons examinés les résultats mettent en évidence une intoxication aux métaux lourds.
Cette constatation rejoint celle du Dr Reymond Sitthided qui lui retrouvait des taux de NEUROTOXIQUES chez tous ses patients neurologiques.

Le Dr Daunderer, médecin allemand et toxicologue de grande renommée a affirmé : « il convient de traiter l’accumulation de substances toxiques dans les organes par l’administration d’un contre poison et de mesurer simultanément l’élimination urinaire. Le seul traitement approprié est le DMPS (Dimercapto Propane Sulfate) ».

LE DMPS est un excellent dépolluant du mercure qui a un long passé d’innocuité depuis cinquante ans.
Le Dr Melet dépolluait des bébés de quelques mois avec ce formidable contre poison.

Le Dr J. Mutter, écrit en 2000, dans « l’Amalgame dentaire, un risque pour l’Humanité » : « si le DMPS est administré fréquemment, les améliorations cliniques, chez les patients, sont frappantes. »

Schaefer et son équipe à Mannheim en 1994 dans « Lehrbuch der Toxicologie », ont démontré par leurs travaux, que le DMPS désintoxique tous les organes du corps.

De nombreux témoignages nous ont confortés dans l’idées que la chélothérapie est indispensable. Parmi ceux-ci nous pouvons citer les cas suivants.

Le premier témoignage est celui de la mère d’une enfant autiste :

« Bonjour,

J’aimerais vous remercier personnellement pour votre aide à ma fille de 4 ans Amélie.
Ma fille a été diagnostiquée TSA (Troubles du Spectre Autistique) à fin 2015 et c’est grâce à votre clinique de détoxication des métaux lourds qu’aujourd’hui elle n’a presque plus de symptômes de cette maladie.

Elle parle, (elle était non verbale), elle regarde dans les yeux, elle ne fait plus de crises et joue avec d’autres enfants à l’école normale
Elle fait même des cours de danse.
La plupart de ces résultats sont apparus avec la chélation que l’on a fait chez vous.
Merci beaucoup pour votre travail et votre aide.

Cordialement, L. W. »

Le second concerne un cas de syndrome de fatigue chronique :

« Cher Docteur C.

Je prends, enfin, le temps pour vous remercier de m’avoir traité pour les métaux lourds.
Il m’aura fallu une année de traitement (débutée en Belgique chez votre confrère Verheyen) et une autre chez vous pour enfin arriver au bout du « nettoyage ».
C’est en passant du DMPS au DMSA en avril dernier que les changements au niveau santé se sont révélés plus concrets.

Mes nombreux maux (fatigue chronique, énergie à zéro, maux de crâne, nausées quotidiennes, vertiges, troubles du cœur…et j’en passe) se sont apaisés et j’ai enfin retrouvé une vie presque normale.

Je vous avoue qu’il y a deux ans, je n’y croyais plus du tout après être passé, pendant plusieurs années dans les mains de nombreux médecins et spécialistes en tout genre qui n’avaient pas de réponse hormis le fait de dire que mes symptômes étaient la conséquence d’un burn-out et que je devais voir un psy.

Ce que j’ai fait bien entendu, pour m’entendre dire que j’étais sain d’esprit, que mes problèmes psychiques n’étaient pas dus à un burn-out, qu’il devait y avoir une cause physique à l’origine de mes maux.

Je n’ai pas peur de dire que vous avez sauvé une vie. (J’étais au bout d’une longue errance médicale et d’un chemin de croix de près de 7 années).

Merci de tout cœur pour ce que vous faites,
X. de B. »

Le troisième témoignage c’est celui de la mère d’une adolescente dépressive avec un syndrome d’Asperger :

« Cher Dr. C.

J’aimerais tout simplement vous remercier pour votre aide.
Au début de cette année, ma fille n’était pas bien, elle faisait une dépression.
À l’adolescence, elle avait eu quelques difficultés d’interactions sociales avec ses camarades de classe et pour cette raison, nous avions consulté et appris qu’elle était atteinte d’un syndrome d’Asperger (maladie qui fait partie des troubles du spectre autistique).

Au début de cette année, elle n’allait pas bien du tout et prenait des antidépresseurs depuis deux mois.

Vous ne pouvez pas imaginer comme nous étions tristes et épuisés.
Nous sommes venus vous voir.
Nous avons demandé la détoxication des métaux lourds.
Elle a fait des séances de DMPS et de DMSA.

Aujourd’hui elle va bien, elle sourit, elle a retrouvé ses anciens amis, réussi son permis de conduire et commence cette semaine ses cours à l’Université.

Cher docteur, je vous remercie de tout mon cœur et je vous serai infiniment reconnaissante pour tout ce que vous avez fait pour ma fille.

C. C. »

Le quatrième cas est aussi très parlant, c’est celui d’une patiente atteinte d’affection rhumatismale qualifiée de fibromyalgie.

Elle avait beaucoup de peine à se déplacer si ce n’est à l’aide de deux cannes, voici son témoignage :

« Suite à la lecture du livre de François Cambayrac j’ai décidé d’entreprendre des soins par chelation auprès du Dr C..
Avec son soutien, ses conseils, ses prescriptions, ma santé s’est considérablement améliorée.

Avant les chélations, j’avais beaucoup de douleurs de fatigue, je ne pouvais plus rien faire, même plus conduire ma voiture.

Aujourd’hui, après un an et demi de traitement et de régime, j’ai repris mes activités, la randonnée, le roller, la moto, ma grande passion.
J’ai un nouvel emploi avec une amplitude de onze heures par jour dont deux heures de trajet. C’est vous dire la forme. Que du bonheur.

Merci, C. K. »

Pour la dernière séance de chélotherapie, la patiente est venue, en moto, de Monbelliard (dans le Doubs), à trois heures de route, avec son mari à l’arrière de la moto.

Un cas, relevé dans la littérature allemande, extrêmement bien documenté puisqu’il a fait l’objet d’une thèse de doctorat à l’université de Francfort m’a paticuliérement frappé.
C’est celui d’un homme de 49 ans, chez lequel un diagnostic de sclérose latérale amyotrophique (ou maladie du motoneurone) a été posé.
Généralement ce diagnostic est une « condamnation à mort » dans les 2 à 5 ans qui suivent.
Dans l’occurrence, ce patient a subi, initialement un traitement de restauration complète de ses dents avec une élimination de tous les amalgames, de tous les métaux dans sa cavité orale.
Puis il a bénéficié d’un traitement de chelothérapie par du DMPS, une supplémentation en ALA (Acide Alpha Lipoic), en glutathion, en vitamines et en anti-oxydants.
Il lui a, également, été conseillé de suivre un régime végétarien  
Les symptômes initiaux de sa maladie ont progressivement disparu et après 3 ans de ce traitement, le patient a été déclaré complètement guéri.

Ce travail de thèse remarquable s’intitule : « Healing of Motor Neuron Disease by Chelation Therapy. A Case Report. »
Il date de Mars 2016.

Je ne saurais terminer ce passage sur la chélotherapie sans parler de l’EDTA, chélateur extrêmement efficace, pour le plomb, le cadmium, l’aluminium, le gadolinum et le calcium.

L’EDTA détend la paroi des vaisseaux par l’adjonction de Mg dans les perfusions.
Il chélate le calcium intravasculaire qui augmente la pression sanguine et qui calcifie les vaisseaux.

Il réduit les radicaux libres, particuliérement les ions fer et le cuivre libres qui accélèrent d’une manière dramatique la peroxidation des lipides.
Il réduit l’adhésivité plaquettaire, « primum movens » de la coagulation.
Et surtout, il chélate le plomb et le cadmium, les deux métaux toxiques les plus présents dans la fumée du tabac.
Ces deux métaux sont les plus délétères pour l’endothélium vasculaire.
Les études TACT1 (Trial to Assess Chelation Therapy) et TACT 2 ont démontré le bien fondé de cette thérapie mal connue et très sous-utilséee dans les problèmes vasculaires surtout ceux liés aux complications du diabète.

Deux études récentes méritent d’être citées :

  • « Heavy Metals, Cardiovascular Disease and the Unexpected Benefits of Chelation Therapy » publiée dans le Journal of the American College of Cardiology en mai 2016.
  • Et la Conférence international de cardiologie à Manchester en Août 2016.

La chélothérapie est une thérapie d’avenir indispensable.

Elle est encore rejetée dans certains pays, dont la Suisse, pour des prétextes fallacieux et pour des questions d’intérêt.

Un des ouvrages fondateurs de la chélothérapie s’intitule : « Bypassing Bypass Surgery » du Dr. Elmer Cranton.

Pour clore ce chapitre, je citerai le grand philosophe allemand Arthur Schoppenhauer (1788-1860) :

« Toute grande vérité passe par trois phases : Elle est d’abord ridiculisée puis violemment combattue avant d’être acceptée comme une évidence ».