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Que faut-il faire pour changer, pour améliorer notre santé et moins polluer ?

Louis Pasteur a dit, sur son lit de mort : « La bactérie n’est rien, c’est le terrain qui est tout. »

En effet, c’est le « terrain » qui est important comme, encore une fois, dans l’agriculture, dans la permaculture.

Il n’est pas envisageable, d’obtenir de belles récoltes en cultivant des terres de mauvaise qualité.

Il faut préparer les terres, les labourer, c’est à dire, les oxygéner, les hydrater, leur permettre de se revitaliser, en les mettant parfois en jachère et les nourrir avec des produits naturels, de la prêle, de l’ortie etc.

De cette manière, nos plantes, nos cultures auront très peu voire pas de maladies.

Pour l’Homme c’est un peu la même chose.

Si le terrain est bon, qu’il est sain, il n’aura que très peu de probèmes de santé.

Avoir un bon terrain, c’est avant tout être capable de se défendre contre toutes les formes d’attaque, c’est disposer d’un bon système immunitaire, « clé de voûte de la santé », je ne le répéterai jamais assez.

Avoir un bon système immunitaire, c’est aussi, ne pas être trop intoxiqué.

Il faudra donc veiller à cela et procéder à des « nettoyages », des chelations si la nécessité s’en fait sentir ou si des tests adhéquats révèlent la présence de métaux lourds par exemple.

Il me semble évident d’éviter les vaccins, autant que faire se peut, qui, comme nous l’avons vu dans les chapitres précédents sont perclus de produits toxiques.

Nous verrons au chapitre consacré à l’homéopathie comment procéder pour « vacciner », d’une manière naturelle, les enfants, en particulier.

Nous l’avons déjà précisé, les 2/3 du système immunitaire sont dans le tube digestif, donc l’alimentation est plus que fondamentale et je vous renverrai au chapitre de l’alimentation et des préceptes du professeur Shinya.

Être dans la bienveillance et dans l’Amour me paraît tout aussi indispensable car tous deux « boostent » le système immunitaire.

Si, malgré un mode de vie optimal, un patient tombe malade, il faudra alors se poser des questions.

Depuis quand, est-il malade, quel est l’élément qui a déclenché sa maladie, où est la faille dans son système immunitaire qui a permis à la maladie de s’installer ?

Une anamnèse attentive et bien conduite va, dans la majorité des cas, débusquer le responsable.

L’écoute très attentive du patient est aussi une forme de respect, elle va faire ressentir au patient que l’on s’intéresse vraiment à lui et cela va le mettre en confiance.

On aura, dès lors, fait un grand pas en avant.

J’ai le souvenir de certains patients qui se plaignaient d’avoir consulté des médecins de grand renom ou des professeurs qui ne les avaient même pas regardés, à défaut de ne pas les avoir écoutés.

La médecine d’aujourd’hui fonctionne par rapports interposés, par examens de laboratoires multiples et abondants qui, malheureusement, ne sont souvent pas très utiles et que la plupart des médecins consultent sur des écrans d’ordinateur ce qui fait que le patient n’est plus le point central de la consultation.
Combien de fois, des patients atteints de symptômes sévères, de maladies auto-immunes, de maladies de Lyme etc, venaient me consulter avec des dossiers considérables, des examens de laboratoires de tous ordres qui s’étaient tous révélés normaux.
Ces patients étaient, alors, la plupart du temps, condidérés par la médecine traditionelle comme des cas psychiques, des dépressifs, voir comme des affabulateurs, dès lors que leurs examens de laboratoire étaient tous normaux, et ils étaient traités par des antidépresseurs.

L’observation du patient est, elle, aussi un peu oubliée lorsque l’on a déjà les rapports des autres confrères, de la radiologie, des IRM, des scanners etc qui comme pour le laboratoire n’étaient pas toujours aussi indispensables que cela.

L'observation attentive du patient pemet aussi de mieux « ressentir » celui-ci.
La couleur de sa peau, sa luminosité, la texture de ses cheveux, ses yeux, les « fenêtres de l’âme », l’examen du patient, le status, comme nous l’appelons, nous apportent une foule d’informations qui pour moi sont souvent au moins aussi utiles que les examens de laboratoire ou de radiologie.

L’anamnèse, c’est à dire, ce que le patient nous dit, indépendemment de ce que l’on pense ou constate, plus l’examen du patient, indépendemment de ce que le patient nous dit, ce que l’on appelle le status, devait nous permettre, selon nos études de médecine, d’aboutir à un diagnostic différentiel.
Quelques examens complémentaires, ciblés, nous donnaient l’occasion de poser un diagnostic.

Aujourd’hui les examens de laboratoire et de radiologie multiples ont malheureusement pris le pas, allègrement, sur l’écoute et l’examen du patient.

Ces examens de toutes sortent génèrent une pollution non négligeable par l’utilisation de multiples produits chimiques autant pour les analyses de laboratoire que pour les examens radiologiques.
En radiologie, on pollue également les patients par l’injection de différents produits dont le gadolinium qui est un métal lourd que l’on retrouve de plus en plus dans les examens de toxicologie vu la multiplication des IRM.
Il semble bien que le gadolinium s’accumule dans le cerveau.
Il n’y a pas encore de maladie décrite en relation avec cette accumulation mais par précaution les AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) de plusieurs produits de contraste contenant du gadolinium ou de l'iode ont été retirés du commerce.

De plus, les examens complémentaires sont d’un coût incommensurable.

La permamédecine se base bien d’avantage sur le respect.

Cette notion du respect est un pilier fondateur de la permamédecine mais on l’a vu, préalablement, c’est également un des fondements de base de la permaculture.

Pour le docteur Albert Schweizer, celui qui a été le « catalyseur » de ma vocation et qui fut lauréat du prix Nobel de la paix, la notion du respect de la vie et de l’indignation devant la souffrance étaient au cœur de sa démarche.

Celle-ci s’est voulue, « un Homme au service d’autres Hommes ».

Il se plaisait à dire : « Je suis une vie au milieu d’autres vies qui veulent vivre. »

Le respect du patient passe, par l’écoute et l’observation, on vient de le voir mais aussi par le partage des connaissances livresques et intuitives.

Dans la salle de traitements de notre centre, les patients qui venaient faire des perfusions de chelation se cotoyaient pendant une heure ou plus et, bien évidemment, ils parlaient entre eux de leur maladie et de leur traitement.

Puis, lorsque je passais auprès d’eux, ils me posaient mille questions sur leur problématique et les nouveaux traitements dont ils avaient entendu parler.
Grâce à eux, j’ai appris beaucoup par des articles ou des livres qu’ils avaient lu et m’avaient incité à consulter.
Cet échange a été pour moi, générateur d’énormément d’information.

Parallèlement, combien de fois ai je demandé à des patients, pourquoi êtes vous malades, quelle est votre impression, votre intuition ?

Je m’entendais répondre le plus souvent : « Oui, mais c’est vous le médecin ! »
Je leur répondais : « Oui, mais c’est vous le patient, celui qui souffre, qui ressent la maladie dans sa chair. »

S’établissait ainsi un dialogue constructif, où le médecin n’était pas celui qui sait, sur un piédestal et le patient, l’ignorant qui « boit » les paroles du médecin comme des paroles d’évangile.

En revenant sur le départ de la maladie, sur le moment où tout à coup « le véhicule ne fonctionnait plus » et avec le dialogue que nous évoquions juste avant, nous parvenions dans la plupart des cas à trouver l’origine du mal.

Cela pouvait être un choc affectif, un licenciement, un divorce, un décès, une frustration, une vexation, une contariété importante, une déception sévère qui tous vont provoquer un stress majeur et par là même une baisse du système immunitaire.

Pour chacune de ces situations, le traitement le plus générateur d’améliorations est homéopathique.

Pour les chocs affectifs, Arnica est un remède souverain, pour les frustrations, les indignations et les vexations, Staphysagia rend les plus grands services, pour les chagrins, les déceptions, les deuils, Ignatia est le remède clé.

Une autre cause pouvait être également un vaccin.

Nous avons vu préalablement, le potentiel toxique des vaccins et qui va lui, aussi, provoquer une sidération du système immunitaire.

Combien de fois, l’anamnèse d’un patient souffrant d’une maladie auto-immune nous ramène à un vaccin.

Me revient en mémoire l’histoire de cette petite fille en pleine santé, agée d’environ deux ans qui avait développé un diabète grave insulino-dépendant dans les 48 heures qui ont suivi un vaccin contre la rougeole qui avait été « extorqué » par la pédiatre à des parents qui ne voulaient pas vacciner leur enfant.
Dans ce cas, fait rarissime même l’hôpital de Genève avait confirmé aux parents que l’origine du diabète de leur fille était très probablement le vaccin.

Rappelez vous ces « myofasciites à macrophages », maladies auto-immunes générées par l’aluminium contenu dans les vaccins dont l’histoire a été si bien décrite dans le livre « Toxic Story » du professeur Romain Gherardi.

L’homéopathie, une fois de plus, peut nous rendre souvent de grands services pour « drainer » les effets délétères des vaccins, nous le verrons dans le chapitre suivant, consacré à l’homéopathie.

La troisième grande cause de la chute du système immunitaire, ce sont les intoxications.
Les intoxications aigües, par exemple lorsque on brise une ampoule à basse consommation d’énergie et dont le gaz contenu à l’intérieur est perclu de mercure.

Mais, dans la plupart des cas, les intoxications ne sont pas aigües mais chroniques.

Les plus classiques sont les intoxications à l’arsenic par les pesticides par exemple, au mercure par les eaux polluées, deux cents cinquante tonnes de mercure ont été déversées par l’usine La Lonza dans le Rhône en Valais ou encore au plomb par les fumées ou certains relarguages de l’industrie.

Pour cette troisième grande cause de la baisse du système immun, sans discussion possible, le traitement est la détoxification, l’élimination des métaux lourds, par la chelothérapie dont on peut mesurer l’efficacité par le laboratoire Micro Trace, en Allemagne, qui évalue d’une manière extrêmement précise les teneurs en métaux, dans l’urine, avant et après traitement.

L’amélioration de la santé des patients est aussi un marqueur important de l’efficacité de ces traitements encore une fois interdits par les systèmes de santé inféodés à big pharma qui n’a aucun intérêt à ce que les patients guérissent.
Les témoignages du chapitre consacré à la chélothérapie en sont un vivant témoin.