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Au chapitre des vaccins, nous avons évoqué de nombreux problèmes inhérents à la pollution des vaccins par de multiples polluants.
Outre tous ces polluants, on trouve d’autres adjuvants et l’on peut réellement se poser la question de la justification de la présence de ceux-ci dans les vaccins.

Par exemple comment expliquer l’adjonction de squalène dans certains vaccins.

Le squalène est un acide gras que l’on retrouve dans certains poissons d’où ce produit tire son nom.

Le squalène est aussi présent dans le système nerveux central de l’Homme.

Associé à une protéine, comme par exemple celle d’un virus dans un vaccin, le squalène va former une lipoprotéine.

Les biologistes nous informent qu’il n’y a rien de plus allergisant qu’une lipoprotéine injectée.

Donc, lors de l’injection, par un vaccin, d’une lipoprotéine, il y a un risque, non négligeable, que le corps développe des anticorps contre cette lipoprotéine, c’est à dire contre le squalène.
Et, comme, nous avons naturellement du squalène dans le cerveau, il n’est pas exclu que le corps développe des anticorps contre un des composants de son propre cerveau.

C’est bien, ce qui semble s’être passé dans le GWS, Golf War Syndrom.

Certains auteurs pensent que ce syndrome pourrait être aussi dû à la réaction déclenchée par la présence d’Aluminium dans les vaccins étant donné que plusieurs symptômes du GWS sont similaires à ceux de la myofasciite à macrophages.

Selon un article du British Medical Journal intitulé « A Review of the evidence for a Gulf War Syndrom », du Dr. Khalida Ismail, il est fait mention que lors de ce conflit, la crainte d’armes biologiques comme l’anthrax, la peste et le botulisme avaient conduit le programme de vaccination à inclure des vaccins contre ces armes biologiques.

Les vaccinations chez les militaires sont une pratique courante mais l’immunisation contre les armes biologiques sont rares.
Ceci a conduit à émettre l’hypothèse que la multiplication de tous ces vaccins aurait pu endommager le système immunitaire et participer ainsi au développement de maladies auto-immunes.

Le GWS correspond au développement de sclérose latérale amyotrophique, maladie auto-immune neurologique, ainsi que d’autres entités nosologiques de type maladie auto-immunes chez de nombreux soldats américains qui avaient reçu un vaccin (contenant du squalène) contre l’anthrax et bien d’autres vaccins comme il est mentionné ci-dessus.

Voilà un argument de plus qui permet de démontrer, était -ce réellement nécessaire, la nocivité des vaccins.

Mais, en fait, à quoi servent les vaccins ?

Pour l’industrie pharmaceutique, les choses sont claires, les vaccins permettent de gagner beaucoup d’argent et d’affaiblir le système immunitaire surtout pour les vaccins qui concernent les maladies d’enfance.

Vous pensiez le contraire pour le système immunitaire ?

Alors réfléchissons un peu.

Lors d’une maladie d’enfance que se passe-t-il ?
Un virus s’introduit dans la sphère ORL par le biais d’un postillon et se fixe sur une muqueuse qui est un « filtre », une frontière qui lorsqu’elle est franchie, va informer l’organisme.

Cela correspond un peu à une déclaration de guerre et le corps va alors se mobiliser, se préparer à affronter cet ennemi.

Dans cette optique, il va commencer à faire de la température pour accélérer les réactions chimiques et pour activer la circulation, les transports.

Il va développer des anticorps pour combattre ce virus.

Il va s’ensuivre une bataille relativement maîtrisée de laquelle les lymphocytes, les anticorps synthétisés par ces derniers, appuyés par les macrophages vont ressortir vainqueurs.

Le corps est préparé à ce genre de conflit.

Dans le cadre d’une vaccination « classique », par injection, la situation est tout autre.

En effet, ce n’est plus un postillon avec quelques virus qui s’introduit dans l’organisme mais c’est bien un cm3 (ça en fait des postillons !), d’un mélange de plusieurs virus (la plupart des vaccins aujourd’hui sont multiples) « agrémenté » de métaux lourds, de formaldéhyde, de nanoparticules que l’on injecte directement dans les fesses d’un nourrisson !

C’est un peu comme si une armée entière avait été parachutée au cœur d’un pays.

Cela va déclencher une énorme réaction dans tout l’organisme qui va mobiliser toutes ses forces pour faire front à cette agression démentielle de plusieurs virus en même temps (ce que la nature ne fait jamais) en quantité tout à fait anormale et de subir l’oxydation de tous les polluants contenus dans le vaccin.

Ce n’est plus une déclaration de guerre c’est une invasion totale.

La conséquence de cet « envahissement » c’est que le corps va s’épuiser à générer le plus d’anticorps possibles.
Il va y avoir une « consommation » du capital des anticorps et va laisser le système immunitaire exsangue.

Donc, avec les vaccins « classiques », administrés aux enfants, il est, dès lors, tout à fait évident de dire que l’on affaiblit le système immunitaire avec les conséquences que l’on a déjà décrites.

De toutes les façons, les vaccins tels que ceux que l’industrie pharmaceutique nous propose (contenant plusieurs maladies et tous les polluants cités précédemment) n’ont jamais démontré un réel avantage dans la balance bénéfice-risque.

Toutes les épidémies se sont éteintes d’elles-mêmes.
Même la peste.

D’aucuns vont arguer du fait que la poliomyélite a bien été éradiquée par la vaccination.

En réalité, le vaccin de la polio est apparu à la fin de l’épidémie si on se réfère à sa courbe (courbe de Gauss).

L’épidémie de poliomyélite a duré de 1945 à1956 et l’annonce de la découverte du vaccin, par le Dr. Jonas Salk de l’Université de Pittsburg en Pennsylvanie n’a été faite que le 12.04.1955 alors que l’épidémie s’était déjà considérablement amendée, spontanément, et était tout au bas de sa phase descendante.

De surcroit, de nombreux cas de polio ont été faussement attribué au virus de la polio alors qu’en fait il s’agissait d’intoxication au DDT, largement utilisé à cette époque et qui donne, à peu de choses près, les mêmes symptômes que la polio.
Si l’on superpose la courbe d’intoxication au DDT à celle de « l’épidémie » de polio on s’aperçoit qu’il y a très peu de différences.

Alors qu’en est-il des vaccins homéopathiques ?

Pour mémoire, je rappelle que nous ne sommes constitués que d’atomes et qu’un atome n’est rien d’autre que du vide à 99,99%.
Nous ne sommes qu’information.

Lorsqu’un enfant vient au monde, il ne vient pas les « mains vides », il vient avec des bagages c’est à dire avec un patrimoine.

Dans ce patrimoine, il a toute l’information.

Il suffit, donc, d’aller dans sa « bibliothèque », dans son patrimoine pour aller chercher le dossier « rougeole », par exemple, et de faire « reset », de le rendre plus réactif avec une ou deux doses homéopathiques de Morbilinum (Rougeole en latin).

On va dès lors, remobiliser le patrimoine, pour UNE maladie à la fois (comme dans la nature), par de petites quantités (dois-je rappeler qu’un postillon c’est également très peu de chose) et par des voies naturelles, par la bouche.

« Pour mémoire », la rougeole, ça ne pénètre pas dans l’organisme par les fesses comme veut le faire un vaccin injectable et ça ne s’accompagne pas d’une autre maladie telle que la rubéole ou les oreillons.

Ce procédé de vaccination homéopathique peut se faire avec toutes les maladies que les parents d’un enfant veulent prévenir.

J’ai utilisé ce mode de faire, pendant des décades chez les enfants, sans aucun problème, mais aussi avec les personnes âgées qui revenaient systématiquement me demander, l’automne étant venu, les célèbres doses homéopathiques d’Influenzinum pour les vacciner contre la grippe.
Ces doses ne les rendaient pas malades, me disaient-ils, comme beaucoup de leur congénères qui eux « subissaient » le vaccin injectable.

Les doses homéopathiques d’une maladie permettent également de « drainer » les vaccins injectés en quantité élevée et leurs effets secondaires.

Cet effet bénéfique de « drainage », ne permet pas toujours de corriger tous les effets délétères des vaccins.

Certaines mamans me posaient parfois la question si elles pouvaient vacciner leur enfant comme le recommandait la médecine classique et si je pouvais « drainer » ultérieurement tous les effets secondaires ?
Je leur répondait que cela dépendait des effets secondaires et que si leur enfant devenait autiste, il allait être très difficile de tout arranger.

La vaccination homéopathique n’est, donc, pas très utile pour gagner beaucoup d’argent (à l’encontre des vaccins de la médecine allopathique), les doses sont très bon marché et elle cherche plutôt à doper le système immunitaire et non pas à l’affaiblir.

Doper le système immunitaire des patients devrait être la quête perpétuelle d’un médecin honnête et respectueux de la nature et de sa profession.

N’oublions jamais que les virus et les hommes, c’est une histoire d’amour qui dure toute la vie, c’est déjà pas mal, et ce depuis la survenue de l’Homme sur la Terre.
Les virus sont, en particulier, nécessaires pour stimuler le système immunitaire qui répond par la formation d’anticorps et alors le virus va muter et le cycle recommence.
Nous devons vivre avec les virus, comme c’est le cas depuis la création du monde et pour cela avoir un système immunitaire fort.
Nous n’arriverons jamais, comme tentent de le faire ces nouveaux « vaccins », en fait des thérapies géniques, à vaincre les virus, ils auront toujours un temps d’avance.
Et, une fois encore, ils ne sont pas des ennemis, ils sont nos alliés, pour maintenir sous tension la vigilance de notre système de défense.

Il existe différentes méthodes pour stimuler, pour exacerber le système immunitaire.
Parmi elles, l’autohémothérapie est probablement une des plus efficaces.