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S’il est un sujet à controverse, c’est bien celui des vaccins.

Au début de ma pratique, concernant les vaccins, j’ai appliqué les préceptes que j’ai reçu durant mes études et durant ma formation post-graduée, en milieu hospitalier, pendant cinq ans.

J’ai pousuivi dans cette voie, pendant quelques années après mon installation en pratique privée, tout en étant, instinctivement réticent à ces « injections ».

À la fin des années 1970, il n’y avait encore que peu de vaccins.
Le célèbre ROR (vaccin pour la rougeole, les oreillons et la rubéole) n’a été introduit qu’en 1983 dans le calendrier vaccinal.
Donc, durant les premières années de mon activité en cabinet privé qui débuta en 1978, en l’absence de vaccin, si un cas de rougeole se présentait, que faisait-on ?

On donnait des fébrifuges au patient, du chlorure de magnésium, et pour « vacciner » les autres, on les envoyait tous chez le malade pour que tout le monde l’attrape.
Comme on le faisait par le passé.

En réalité, la rougeole est une maladie d’enfance, que l’on devrait faire dans l’enfance car elle est un des éléments qui permet de « booster » l’immunité.

Les grands-mères de l’époque considéraient la rougeole comme une bonne maladie.
Elles disaient qu’après une rougeole, les enfants s’épanouissaient et il avait été noté qu’ils faisaient des poussées de croissance.

La rougeole faisait partie de ce que l’on appelait les « maladies nécessaires ».

Il faut dire que près d’un demi-siècle en arrière, le système immunitaire des enfants était probablement plus résistant, moins altéré par la pollution, par la « malbouffe » et par d’éventuels autres vaccins.

On a très bien observé ce phénomène lors de l’arrivée d’enfants kosovars en Suisse, il y a quelques années, qui étaient souvent beaucoup plus résistants et beaucoup moins allergiques que les enfants suisses. Ceci, alors qu’ils avaient vécu et vivaient la plupart du temps dans des conditions sanitaires moins « élaborées » que les nôtres et avaient une nourriture moins « pasteurisée  » que la nôtre.

C’est dans la foulée du vaccin ROR que s’est développée, d’une manière très considérable, l’industrie des vaccins et que s’est accru le nombre de ces derniers.

Et c’est aussi à cette époque qu’ont commencé à émerger des cas de complications, d’effets secondaires des vaccins avec, en particulier, une multiplication des cas d’autisme.

Entre 1978 et 1999 aux États-Unis, les cas d’autisme ont été multipliés par trente selon Sylvie Simon, écrivain et journaliste, auteur de « la Dictature médico-scientifique ».

Selon elle, la vaccination intensive des enfants est à l’origine de l’augmentation si importante des cas d’autisme.

Certains scientifiques ont prétendu que la pollution et les pesticides pouvaient être les responsables de ces cas mais nombre de parents d’enfants autistes sont persuadés que beaucoup de cas relèvent essentiellement de la vaccination intensive des enfants et particulièrement du vaccin antihépatite B ou des vaccins combinés tels que le ROR.

De toute manière, les vaccins peuvent être considérés comme des éléments polluants puisqu’ils contiennent, nous le verrons par la suite, un bon nombre de substances toxiques ainsi que du glyphosate comme nous l’avons bien vu dans le chapitre précédent.

Le docteur Bernard Rimland, chercheur en psychologie et père d’un enfant autiste, directeur et fondateur du Autism Research Institute de San Diego a déclaré :

« Il est grotesque de prétendre qu’il n’existe aucun lien entre l’autisme et la vaccination excepté des coïncidences…
La vérité est que des enfants sont blessés par les vaccinations. »

De son côté, et à l’inverse, le magazine American Medical News du 02.08. 1999 expliquait :

« Les familles des enfants autistes ont tendance à établir un lien chronologique car les symptômes peuvent se manifester au moment où l’immunisation est induite par le vaccin.
Et, bien que les liens aient rarement été prouvés par des diagnostics médicaux, ils résonnent dans une population qui n’a aucune expérience des maladies infantiles et qui accuse les vaccins. »

Est-il vraiment nécessaire d’avoir une grande expérience des maladies infantiles pour constater que les effets secondaires qui se manifestent immédiatement après la vaccination doivent avoir un rapport avec cette vaccination ?

Le journaliste Nicolas Regush concluait le 14.10.1999 dans ABC News :

« Nous sommes arrivés à un point qui n’est plus défendable du point de vue scientifique.

Introduire de nouveaux vaccins dans le corps sans savoir comment ils pourront affecter, dans le temps, les fonctions du système immunitaire frise la criminalité.»

À l’écoute de nombreux cas rapportés par la patientèle sur des complications survenues après des vaccins, je me suis rapidement remis en question.

En étudiant un peu plus la littérature, j’ai pu réaliser que les vaccins contenaient moult produits toxiques et, en particulier, le thiomersal, dérivé mercuriel qui a été interdit mais qui a perduré pendant plusieurs années et possiblement perdure encore.

En effet, comme on va le voir, ultérieurement, la composition des vaccins mentionnée sur les emballages ne stipule pas tous les ingrédients du produit.

Le thiomersal est un composé utilisé par l’industrie des vaccins pour assurer la conservation des vaccins surtout ceux présents dans les multi-doses.
Il contient un composé mercuriel, l’éthylmercure soupçonné d’avoir des effets toxiques neurologiques et rénaux.

Par précaution et pour faire suite à un mouvement initié aux USA, plusieurs pays ont demandé de retirer le thiomersal des vaccins, particulièrement de ceux destinés à un usage pédiatrique.

Cette demande a, cependant, été faite du bout des lèvres car les pays qui demandaient ce retrait reconnaissaient l’intérêt du thiomersal, dans la production de vaccins moins coûteux, plus faciles à acheminer et à conserver et donc plus adaptés pour des vaccinations de grande ampleur.

Pour remplacer, le thiomersal, les industries pharmaceutiques ont fait appel au formaldéhyde.

Le formaldéhyde est un composé organique volatil, nocif pour la santé.
En phase acqueuse, il est connu sous le nom de formol.
Il est utilisé pour ses propriétés virucides, bactéricides et fongicides.  

Le CIRC (Centre International de Recherche sur le Cancer) a classé le formaldéhyde comme cancérogène avéré chez l’homme (groupe 1) en 2004.

En 2017, un article de Michel Dogna, ancien ingénieur chimiste, Heilpraktiker et écrivain, relevait que le formaldéhyde avait été interdit dans la fabrication des jouets et écrivait ceci :

« Les législateurs de l’état du Minnesota ont décidé que le formaldéhyde était trop dangereux pour qu’il puisse se trouver dans les produits pour enfants.
Conformément à l’article 325f.175-(hf458) les produits contenant du formaldéhyde furent interdits à la vente à partir du 1er Août 2014.

Comment se fait-il, dès lors, que le formaldéhyde soit interdit dans les jouets et les vêtements pour enfants et qu’il puisse encore se trouver dans les vaccins ?

On reste perplexe. (…)

La recherche sur le site de l’Environemental Protection Agency (EPA) nous met en garde :

«  Le formaldéhyde peut endommager les cellules en se liant à l’ADN et ainsi former des adduits ADN de formaldéhyde, ce processus peut interférer avec la réplication de l’ADN et conduire à des mutations comme à des tumeurs cancéreuses. (…)

L’argument avancé par la FDA qui justifie la présence de formaldéhyde dans les vaccins est le suivant :
La quantité de formaldéhyde présente dans certains vaccins administrés aux nourrissons est si faible par rapport à la concentration qui se produit naturellement dans le corps qu’elle ne pose pas de problème de sécurité, selon une étude utilisant un modèle mathématique mis au point par des scientifiques de la FDA.

Mais, ce modèle mathématique (tout à fait théorique) a-t-il été le seul critère utilisé pour déterminer si le formaldéhyde ne présentait aucun danger quand il est injecté à des nourrissons ? »

C’est toujours le même argument avancé par l’industrie pharmaceutique qui ne tient généralement pas compte de l’addition des vaccins, de l’effet cumulatif des très nombreux vaccins qui font partie du « calendrier vaccinal » des pédiatres.
Dans une revue appelée « Human and experimental Toxicology » de Octobre 2012, un article intitulé « Relative trends in hospitalization and mortality among infants by the number of vaccine doses and age, based on the Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) 1990-2010 » stipule clairement qu’il existe une augmentation statistiquement significative entre le nombre de doses de vaccins administrés et le pourcentage d’hospitalisations et de morts.
L’article conclu qu’il est impératif que les autorités sanitaires disposent de données scientifiques des toxicités synergiques des combinaisons de tous les vaccins que les enfants doivent recevoir.

Et quid de l’effet « cocktail » des différentes autres substances qui polluent les vaccins ?

En effet, le 05.05.2017, le Conseil National de Recherche d’Italie découvre que les vaccins sont contaminés par des nanoparticules toxiques.

Une étude visant à rechercher des nanoparticules dans les vaccins a été réalisée par les docteurs Antonietta Gatti et Stefano Montanari.
Les résultats de leur recherches ont été publiés dans l’International Journal of Vaccines, le 23 Janvier 2017.

Selon les auteurs de cette étude, les effets secondaires des vaccins ont beaucoup augmenté durant les dernières années particulièrement chez les enfants si l’on en croit les rapports de l’Académie Américaine de Pédiatrie.

Par exemple le vaccin diphtérie-tétanos-coqueluche a été lié aux cas de morts subites de l’enfant (SIDS), le vaccine ROR (rougeole, rubéole, oreillons) a été mis en relation avec l’autisme, les vaccinations multiples avec les désordres immunitaires, le vaccin de l’hépatite B avec la sclérose en plaque, etc.
Les références de ces allégations sont mentionnées dans le travail des docteurs Gatti et Montanari que vous trouverez, dans la liste des études relevées ci-après.

Les études épidémiologiques ne démontrent pas une évidence absolue des corrélations susmentionnées même si l’Académie Nationale de Médecine admettait en 2011 que :
« les vaccins ne sont pas dénués d’effets secondaires ou d’effets adverses ».

Des recherches spécifiques sur la composition des vaccins, comme les adjuvants (dans la plupart des cas, des sels d’aluminium), ont démontré comme possibles responsables de symptômes neurologiques, les dits adjuvants.
Des dommages neurologiques induits chez des patients, sous hémodialyse, traités par de l’eau contenant de l’aluminium sont rapportés dans la littérature.

Il est, certes, indéniable que des millions de vaccins sont administrés chaque jour sans que cela ne déclenche de catastrophe.
Mais, il également irréfutable qu’un nombre incommensurable d’effets secondaires ne sont juste pas enregistrés, que nombre de cas sont simplement inconnus ou non reconnus et que malgré tout cela, de multiples dossiers documentés démontrent que dans les suites d’un vaccin quelque chose s’est mal passé.

Ce sont les raisons qui ont conduit les docteurs Gatti et Montanari à vérifier le fait que les vaccins soient sains.

Ils ont, pour ce faire, utilisé une méthode jamais employée auparavant, à savoir une approche physique et non biologique.    

44 types de vaccins venant de France et d’Italie ont été analysés.

Pour ce faire, une méthode d’investigation, par microscopie électronique à balayage avec microsonde à rayon X a été appliquée. 

Les résultats de cette étude montrent la présence de particules micro et nanométriques composées d’éléments inorganique dans des échantillons de vaccins.  

La présence de ces contaminants particulaires reste à ce jour inexpliquée.

ILS NE SONT, PAR AILLEURS, JAMAIS SIGNALÉS PAR LES FABRIQUANTS DE VACCINS.

Ces nanoparticules sont considérées comme non biodégradables et ne sont pas biocompatibles.

Leur présence permet une nouvelle approche quant aux accidents post-vaccinaux et certaines maladies qui en découlent comme l’autisme, les scléroses en plaque, les désordres immunitaires, les maladies neurodégénératives, voir la mort subite du nourrisson.

L’étude révèle la présence de métaux nanométrique ou combinés nano de :
tungstène, titane, zirconium, hafnium, strontium, aluminium, nickel, fer, antimoine, chrome, or, zinc, platine, argent, bismuth, cérium, cuivre, plomb, étain, barium, vanadium, magnésium, souffre, silicium, calcium, sodium et manganèse.

L’injection intramusculaire de microparticules d’un alliage de tungstène chez des rats de laboratoire a rapidement causé l’apparition de cancers.

Le strontium, même non radioactif est toxique pour l’animal et l’humain.
En synergie avec d’autres produits tel que le chrome, il provoque des cancers du poumon.

Tous les composés de hafnium sont toxiques.

Le bismuth et le barium sont considérés comme toxiques.

Outre, la toxicité avérée de certains métaux, il est à noter qu’à l’échelle nanométrique les effets nocifs de ceux-ci sont surmultipliés.

Tous ces éléments, peuvent passer la barrière hémato-encéphalique et en général pénétrer toute cellule du corps humain.
Ils ont un effet mutagène sans limite à leur échelle.

Il reste à savoir si ces éléments se retrouvent dans les vaccins d’une manière fortuite ou si leur insertion est intentionnelle.

Si c’est fortuit, il est inconcevable que des vaccins différents disposent exactement des mêmes structures nano-métalliques.

Or, c’est le cas.

La formule AlSiTi (aluminium, silicium, titane), se retrouve dans les vaccins des laboratoires Berna Biotech, Novartis et Glaxo-SmithKline.

Selon les auteurs de l’étude les compositions chimiques retrouvés dans les vaccins testés se retrouvent généralement, lorsque l’on étudie des cas de contamination environnementale.
Toujours selon eux, ces combinaisons chimiques sont extrêmement bizarres, elles n’ont aucune utilité technique et ne devraient en aucun cas être présent dans du matériel injectable et encore moins dans des vaccins pour enfants.

Une fois encore, ces éléments nanométriques vaccinaux ne sont jamais signalés par les laboratoires pharmaceutiques.

Je ne saurais terminer ce chapitre sur les vaccins sans parler de l’aluminium.

Au mois de Mai 1993, la Dresse Michelle Cocquet, neuropathologiste à Bordeaux effectue une biopsie musculaire chez une femme souffrant de douleurs musculaires rebelles inexpliquées.
Cette biopsie contenait des amas de macrophages.

Ces macrophages contenaient des cristaux noirs, bien visibles au microscope électronique.

De 1993 à 1996, dix-huit cas sont détectés et en 1996, les spécialistes donnent à cette entité nosologique le nom de « myofasciite à macrophages ».

En plus des histologies particulières relevées chez ces patients, il était frappant de constater que ces derniers souffraient tous, de douleurs musculaires et articulaires, d’une fatigue intense ainsi que des troubles de la mémoire, de concentration et de sommeil.

C’est en 1999 que, le CNRS (Centre National de Recherches Scientifiques) et en particulier Philippe Moretto, découvre que ces cristaux noirs sont en fait de l’aluminium.

Le professeur Romain Gherardi, chef du département de pathologie de l’hôpital Henri-Mondor a résumé dans un livre remarquable, intitulé « Toxic Story », qui se lit comme un roman policier, toutes les péripéties, toutes les difficultés et toutes les interdictions qui se sont mises sur sa route dès lors qu’il a osé mettre au grand jour la corrélation entre l’aluminium retrouvé dans les biopsies musculaires, qui ne pouvaient provenir que des vaccins, et le syndrome de la myophasciite à macrophages.

Le professeur Gherardi a trouvé chez les patients atteints de myophasciite une augmentation des cytokines, corolaire d’une activation chronique du système immunitaire.

On retrouve cette élévation des cytokines dans plusieurs maladies caractérisées par un déficit immunitaire comme le sida, les hépatites C et les cancers.

Au travers de toutes les pollutions relevées ci-dessus, non mentionnées, pour la plupart sur les notices des vaccins, il est évident que la très grande majorité des médecins vaccinateurs, pour ne pas dire la totalité, ne connaissent pas la composition exacte des produits qu’ils injectent (cf. l’étude du conseil national de recherches d’Italie sur les nanoparticules).

Ils font confiance à l’industrie et à un certain consensus établi par l’intelligentsia médicale qui, comme nous l’avons précisé, préalablement, est sous la coupe de l’industrie pharmaceutique  

Et, quoi qu’il advienne, les laboratoires pharmaceutiques n’ont aucun souci à se faire dès lors que l’administration américaine leur a accordé une immunité juridique totale.

En effet, la secrétaire d’état américaine à la santé, Kathleen Sibelius a signé en juin 2009, un décret les libérant de toutes responsabilités en cas de complications judiciaires.

N’est-ce pas remarquable ?

Le 17.02.2017, le journal l’Express titrait : « De Niro promet 100'000 dollars à qui prouvera que les vaccins sont sans danger. »

La star hollywoodienne, convaincue que l’autisme de son fils était imputable à un vaccin, s’est personnellement impliquée dans une campagne anti-vaccination.

L’acteur et l’avocat, militant anti-vaccination, Robert F. Kennedy Jr. ont annoncé qu’ils avaient décidé d’offrir la somme de 100'000 dollars à qui pourrait prouver que le vaccin contre la rougeole, la rubéole et les oreillons étaient totalement sans danger pour la santé.
Jusqu’à aujourd’hui personne n’est venu réclamer cette coquette somme.

En fonction de telles informations, l’opposition d’une grande partie de la population face à l’obligation d’imposer 11 à 12 vaccins aux enfants apparait totalement légitime du point de vue éthique, scientifique et juridique.

Et la phrase de Madame Agnès Buzin, ex-ministre de la santé en France comme quoi : « nos vaccins sont sûrs et sans danger » est totalement irresponsable.

Pour terminer ce chapitre sur les vaccins, je citerai un médecin hongrois, le docteur Semmelweis Ignac (1818-1865) qui disait :

« La médecine est capable du meilleur comme du pire, mais c’est dans le pire qu’elle est la meilleure. »

En fonction de tout ce qui précède, vous ne serez, certainement, pas étonné que j’aie cessé d’injecter des produits dont je ne connaissais pas exactement la composition et dont je ne pouvais absolument pas évaluer les conséquences.

En fonction du serment d’Hippocrate que j’avais prononcé, « Primum non nocere », D’ABORD NE PAS NUIRE, ma conscience de médecin m'a formellement interdit d’injecter des produits, dont une fois encore, je ne connaissais pas le contenu et de ne pas suivre le « diktat » des laboratoires pharmaceutiques.

J’ai, donc, fait appel à des produits sans effets secondaires et j’ai utilisé des « vaccins homéopathiques » qui fonctionnent très bien et dont je parlerai ultérieurement.

Pour étayer, ce qui précède je vous livre quelques références parmi la foultitude de celles-ci :

  • Ottaviani G, Lavezzi AM, Matturi L (2006):
    Sudden infant death syndrome (SIDS) shortly after hexavalent vaccination: pathology suspected SIDS?
    Virchow Arch-448(1):100-104
  • Johann Liang R, (2012) Updating the Vaccine Injury Table following the 2011 IOM Report on Adverse Effects of vaccines. HRSA, pp 1-27.
  • L Tomlenovic, CA Shaw (2011) Aluminium Vaccines Adjuvants: Are they safe? Current Medicinal Chemistry 18 (17): 2630-2637
  • Shaw CA, Petrik MS (2009) Aluminium hydroxide injections lead to motor deficits and motoneuron degeneration. J. Inorg Biochem (2009)
  • Authier FJ, Sauvat S, Chestov C, Chariot P, Raisbeck G,et al. (2006) AlOH3-adjuvant vaccine-induced macrophagic myofasciitis in rats influenced by the genetic background.
    Neuromuscul Disord 16(5): 347-352.
  • Brinth L, Pors K, Theibel AC, Mehlsen J (2015) Suspected side effects to the quadrivalent human papilloma vaccine. Danish Medical J 62(4): 1-12
  • Visani G, Manti A, Valentini L, Canonico B, Loscocco F, et al. (2016) Environemental nanoparticules are significantly over-expressed in acute myeloid leukemia. Leuk Res 50 : 50-56.
  • Gatti AM, Manti A, Valentini L,Montanari S, Gobbi P et al. (2016) Nano biointeraction of particules matter in the blood circulation. Frontiers 30:3
  • Gatti AM, Quaglino D, Sighinolfi GL (2009)
  • A Morphological Approach to Monitor the Nanoparticle-Cell Interaction. Internation Journal of Imaging and Robotics 2: 2-21.
  • Shaw CA, Seneff S, Kette SD, Tomljenovic L, Oller Jr JW, et al (2014) Aluminium-Induced Entropy in Biological Systems: Implications for Neurological Disease.
    Journal of Toxicology 2014: 491316
  • Seneff S, Swanson N, Chen Li (2015) Aluminium and Glyphosate Can Synergistically Induced Pineal Gland Pathology: Connectionto Gut Dysbiosis and Neurological Disease. Agricultural Sciences 6(1) : 42-70.
  • Shaw CA, Kette SD, Davidson RM, Seneff S, (2013)
    Aluminium Role in CNS-immune System interaction leading to Neurological Disorders. Immunome Research 9: 069